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“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)

29 septembre 2016

Dear You saison 1, d'Emily Blaine & Jessica Monceau

Dear you

Après l'écoute de l'épisode 1, mis à disposition gratuitement sur toutes les plateformes de téléchargement légal, j'avais disposé d'un peu plus d'1 heure 30 pour me familiariser avec cette romance à succès. C'était bien trop court pour juger du potentiel addictif de l'intrigue, aussi j'ai patienté jusqu'au mois d'août pour me lancer dans cette première saison, préalablement publiée sous trois épisodes. En livre audio, forcément. 

Kathleen est concierge dans un palace, où elle s'applique à satisfaire les desiderata d'une riche clientèle exigeante. La jeune femme est célibataire, vit loin de sa famille, a très peu d'amis pour lui tenir compagnie, aussi consacre-t-elle facilement tout son temps au boulot. Son seul pêché mignon consiste à dévorer les petites annonces du New Yorker en rêvant du jour où l'une de ses bouteilles à la mer lui serait destinée. Sa routine bascule lorsque débarque Andrew Blake au Peninsula. Ce magnat de la presse impose très vite sa puissance et son assurance, Kathleen n'est pas totalement insensible à son charme mais se planque derrière son professionnalisme. Attention danger. Frontière à ne pas franchir. Et puis, elle vient d'accepter l'invitation de son nouveau collègue Dan. Un peu de lâcher prise dans son existence bien sage et trop calme. Mais Andrew Blake accentue également ses efforts pour lui plaire et use sans vergogne de son pouvoir pour obtenir ce qu'il veut.

La ligne générale est certes assez classique, l'histoire est simple, sans surprise, mais non moins charmante. On retrouve tous les codes du genre sentimental, ses clichés, son scénario bien rodé, ses personnages convenus et autres stéréotypes familiers. Cependant, la touche est fraîche, moderne, assez pétillante. Les dialogues sont naturels et spontanés. Je n'avais pas trop envie de rouler des yeux à tout bout de champ. Et puis, c'est une création française... cocorico ! Cerise sur le gâteau, pour la présente édition : la douce voix de Jessica Monceau, qui nous fait passer un très agréable moment. La deuxième saison est, par ailleurs, déjà disponible sous le même format. Il n'y a plus qu'à...

Texte lu par Jessica Monceau (durée : 8h 12) - Audiolib, août 2016

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7 avril 2016

Just Juliette, de Teri Wilson

Just Juliette

Deux familles de chocolatiers, les Arabella et les Mezzanote, se vouent une haine farouche depuis des générations. Nul ne sait comment tout a commencé, mais cet antagonisme figure dans leur patrimoine génétique et est cultivé avec ferveur.

Seulement Juliette n'a plus le goût de porter cet héritage familial et se sent asphyxiée par les attentes des siens. Sa relation platonique avec George Alcott est également devenu un poids. Juliette songe à rompre, tandis que lui envisage sérieusement de l'épouser.

C'est donc dans ce grand flou qu'elle accepte de l'accompagner au bal masqué des Mezzanote qui est censé annoncer avec faste le retour au bercail du fils prodigue, Leo. Après avoir enrichi son expérience en Europe, celui-ci vient donc reprendre les rênes de l'entreprise familiale.

Cette nouvelle est vécue comme un choc pour Juliette, qui reconnaît en lui l'inconnu qu'elle vient d'embrasser fougueusement dans les vergers de la propriété ! De son côté, Leo se moque de son identité et de la vieille querelle légendaire. Il est tombé sous le charme de la demoiselle et entend la conquérir vaille que vaille. 

Cette courte bluette sentimentale est aussi goûteuse et sucrée qu'une tasse de chocolat qu'on avalerait sans se soucier des kilos superflus. Du plaisir coupable sur toute la ligne. L'histoire est simple, mais adorable. C'est sans surprise, sans la moindre aspérité. Juste quelques soubresauts en cours de route, qui ne feront pas dévier la piste non plus.

On a là du romantisme pur et simple pour une jolie histoire d'amour incluant des personnages attachants. C'est onctueux, collant et on s'y noie en buvant sa honte. Délicieux ! 

Harlequin / coll. &H ♦ Octobre 2015 ♦ Traduction d'Anouk (Just Juliette) 

leonardo dicaprio romeo and juliet gif leonardo dicaprio romeo and juliet gif leonardo dicaprio romeo and juliet gif

7 avril 2016

Ma vie en double, de Fiona Harper

Ma vie en double

À l'approche des fêtes de Noël, Juliet frôle la crise de nerfs à vouloir assurer sur tous les tableaux - mère parfaite, organisatrice irréprochable du réveillon de famille - mais est à deux doigts de jeter l'éponge en constatant que rien ne se passe comme prévu. D'abord, ses quatre enfants sont intenables. Elle ressasse encore son divorce comme une pilule amère coincée en travers de la gorge. Et sa sœur Gemma vient lui annoncer qu'elle part quinze jours en vacances dans les Caraïbes.

Trop, c'est trop. Juliet en a assez de se décarcasser pour les autres et accepte, sur un coup de tête, d'échanger sa place contre celle de sa frangine ! Eh oui, Juliet s'envole seule pour la villa tout confort et oublie rapidement tous ses petits soucis, en faisant la rencontre d'un italien charmant et sexy, et passe son temps à boire des cocktails, à traîner en bikini et expérimenter des sensations fortes, tandis que Gemma se gèle les fesses à Tunbridge Wells et va découvrir les joies d'une vie de mère au foyer débordée, heureusement soutenue par l'intervention salutaire du voisin. 

Je m'attendais à une comédie légère et romantique, une lecture sans prétention, distrayante comme il faut, avec un synopsis rappelant vaguement le film The Holiday (de Nancy Meyers). Et déjà je rêvais d'un instant de guimauve bien collante et sucrée... Que nenni. On découvre une histoire beaucoup moins rigolote et qui se contente de raconter le gouffre existant entre les deux sœurs dont les parcours sont diamétralement opposés.

L'une bosse dans le cinéma, célibataire et indépendante, adepte du glamour, et l'autre est une divorcée aigrie, frustrée et minée par ses échecs. Cela dure sur 400 pages et c'est beaucoup, beaucoup trop long. Cela manque de rythme, de pep's, d'étincelle. C'est trop ancré dans les clichés, les codes, les modes, les recettes banales et sans goût. J'ai bâillé d'ennui. La seule surprise viendra lors de la distribution des cartes amoureuses, avec des révélations et des rebondissements qui feront presque sursauter la lectrice engourdie. Rhooo... quelle drôle d'idée !

Enfin bon, le but de la manœuvre étant de remettre en mémoire l'importance de la famille dans une société sans cesse bousculée et essoufflée. Et j'ai comme eu un peu de mal à gober tout ça... 

Harlequin / coll. &H ♦ Octobre 2015 ♦ Traduction d'Emmanuelle Debon (Make My Wish Come True)  

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6 avril 2016

Looking for Alice, de Louise Vianey

Looking for Alice

Tout a commencé par hasard. Lors d'une brève escapade à Londres, Sarah assiste à une vente aux enchères de bagages oubliés et fait l'acquisition d'une magnifique valise rouge, grâce à la générosité du clone de Clive Owen, qui lui propose galamment de l'accompagner jusqu'à la gare. De retour chez elle, à Paris, Sarah est vaguement déçue par son contenu mais se retient de bondir de joie en découvrant une lettre d'amour et de rendez-vous loupé.

La jeune femme se met alors en tête de retrouver le couple d'amants maudits - Stanislas et Alice - et va remuer ciel et terre pour parvenir à ses fins. Sauf que sa mission se voit fortement compromise par une série de pépins qui lui tombent dessus - cambriolage, agression dans la rue, individu barbu qui la piste... Cela commence à sentir le roussis pour Sarah qui se décide de confier son enquête à sa meilleure amie Margot (cf. Une mariée de trop). 

J'avais beaucoup aimé le 1er roman de l'auteur et me suis donc lancée en toute confiance dans celui-ci, pensant y repêcher la même bouffée de fraîcheur et le dynamisme virevoltant.

On n'en est pas loin, car Sarah est une héroïne mignonne et attachante, mais clairement nigaude dans son boulot ou sa vie amoureuse (elle sort avec un type affreux, qu'elle met au pied du mur en revendiquant son désir de maternité, et puis... rien !). Elle est aussi attachée de presse, dans une agence où elle suspecte ses collègues d'avoir chipé ses échantillons dans son armoire verrouillée, sa chef couvre la chipie du lot et fait tourner Sarah en bourrique, mais elle tarde à réagir.

C'est donc assez long à s'enclencher, du moins la suite réserve une bonne dose de rebondissements et de suspense. Et lorsque toutes les pièces commencent à s'emboîter, le dénouement est du genre inattendu ! J'ai bien aimé, le roman est plaisant et léger. Il n'affiche aucune prétention, si ce n'est d'être un rendez-vous très sympa. 

Harlequin / coll. HQN ♦ Mars 2016 - Exclu ebook

5 avril 2016

Une mariée de trop, de Louise Vianey

Une mariée de trop

Margot est impatiente de se rendre à l'église où Gabriel, son fiancé, lui a réservé la surprise de sa vie en organisant leur mariage dans le plus grand secret. Et alors qu'elle s'engage dans l'allée principale, le cœur battant à tout rompre, ses espoirs soudain s'effondrent : son promis est déjà au bras d'une autre.

Humiliée, abasourdie et estomaquée, Margot s'enfuit sans demander son reste et se réfugie dans une chambre d'hôtel où elle sombre dans un désespoir sans fond une nuit complète. Mais le cauchemar continue lorsqu'elle apprend le lendemain matin que la mariée a disparu et qu'elle figure en tête de liste des principaux suspects. Tout l'accuse. À commencer par cette mascarade du mariage. Gabriel affirme avoir rompu depuis des mois.

Sa meilleure amie Sophie tente de la soutenir mais tombe des nues en découvrant le carnage sanguinaire dans son appartement. La famille de Margot est également désemparée et peu disposée à accorder du crédit à ses dires. C'est donc seule contre tous que la jeune femme se lance vers une quête de la vérité qui sera sidérante de révélations et autres rebondissements à vous en décrocher la mâchoire.

Premier roman oblige, il faut reconnaître à cette lecture ses qualités et ses défauts d'usage. Aussi est-elle débordante d'enthousiasme, appliquée et attendrissante de gaucherie, avec une histoire abracadabrante mais au suspense soutenu.

Parmi les incohérences et autres faits tirés par les cheveux, je note une Margot qui a coutume de perdre la mémoire, de s'effondrer dans des lieux publics pour se réveiller dans des états vaseux (comble de l'horreur, elle supposera même avoir été abusée sous GHB... et là, pilule amère, sensation inconfortable et envie de secouer le cocotier).

Malgré tout, malgré le malaise ressenti, j'ai trouvé l'ensemble de la lecture hautement addictif. Sa construction est sacrément tordue et nous entraîne sur des chemins escarpés, quitte parfois à dépasser les bornes. Mais rien que pour le plaisir ressenti, pour cette excitation constante et pour le doute distillé de bout en bout, je considère ce roman réussi dans son genre et prometteur pour cette auteur débutante, passionnée de faits divers et dévoreuse de romans policiers.

Mosaïc / Octobre 2015

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12 janvier 2016

Le Trône de fer, tome III : La Bataille des rois, de George R.R. Martin

L'aventure continue avec « La Bataille des rois » (Livre 1 de l'intégrale 2) toujours en format audio, lu par le formidable Bernard Métraux. Durée d'écoute : environ 14h. Une broutille. 😜

Après le tumulte provoqué par la famille Lannister, au terme de moult complots, alliances et trahisons, le trône de fer a perdu son roi, laissant un héritage qui soulève bien des passions. Les seigneurs des quatre coins de Westeros s'autoproclament souverains légitimes et font des pactes (qui ne demandent qu'à être retournés). Résultat, l'action est assez lente et se perd en pourparlers, mais on devine déjà que les intrigues sont tricotées et détricotées à l'envi et annoncent un chaos indescriptible.

De nouveaux personnages sont également introduits ou avancent d'un pas presque timide vers le devant de la scène (Theon Greyjoy, Melisandre la Rouge, Lady Meera et Jojen de Griseaux). Ils n'éclipsent pas encore les principaux concernés, même si rien n'est laissé au hasard non plus. En attendant, c'est peu et frustrant, ça suppose de ronger son frein et de spéculer à n'en plus finir. J'hésite à poursuivre ma lecture avec le bouquin ou attendre la sortie du CD en mars. 

description

Cette série n'est que forfanterie, croyez-moi, je ne fais que pester !

Gallimard / Coll. Écoutez Lire (Avril 2015) ♦ Traduit par Jean Sola (A Clash of Kings)

8 janvier 2016

De sable, de soleil et d'écume, par Christie Ridgway

De sable d'écume

Saga : Une saison à Crescent Cove #1

Excédée par la nonchalance de son poulain, aka Griffin Lowell, un reporter de guerre qui a juré de rendre son manuscrit en temps et en heure, et qui finalement préfère se la couler douce dans son bungalow sur la plage, Jane Pearson, son agent littéraire, débarque à l'improviste sur les lieux du crime et entend lui secouer les puces.

Leur rencontre est alors détonnante (musique à gogo, chemise hawaïenne & bikini). Tous deux bien campés sur leurs positions, prêts à en découdre et pas prêts de lâcher l'affaire. Lui se montre intraitable, la charme, la taquine, l'évite à tout prix, la fait tourner chèvre... elle s'accroche, multiplie les ruses, rend les coups et n'abdique jamais. Cela promet !

La romance s'installe de façon guillerette, mais confortable, légèrement pimentée par des interactions qui prêtent souvent à sourire. L'ensemble est savoureux, drôle et sarcastique, avec une once de sentimentalisme bien esquissé, pas trop mielleux, et naturellement sensuel, sans virer à la fête du slip à toutes les pages ! ;-)

Et puis le décor, l'ambiance, le soleil, la plage, la mer... tout ça est envoûtant, reposant. Ce bouquin est un appel au farniente. On n'a qu'une envie en le voyant : tout plaquer, coller ses fesses sur un transat et décrocher de la réalité. Une vile tentation. 

En marge de notre histoire principale, se glisse aussi un autre conflit qui concerne la sœur de Griffin, Tess, dont le couple bat de l'aile. Celle-ci a donc mis les voiles avec ses enfants pour se réfugier dans le bungalow voisin de son frère, sans imaginer que David débarquerait pour la reconquérir.

On a donc deux histoires de couple pour le prix d'une seule lecture. Deux histoires où les sentiments sont emmêlés, empesés, alourdis par des considérations qui nous échappent (traumatisme, lassitude, manque de confiance en soi, tromperie...). Mais la lecture s'applique à une ligne de conduite efficace et réserve son looping d'émotions et de sourires. 

Cette nouvelle recrue dans la collection Sagas est donc une découverte pleine de promesses, une lecture craquante et qui se déguste avec un cocktail à la main (ou pas loin). Pour se sortir de la grisaille de l'hiver, ce rendez-vous tombe à pic ! 

Harlequin France Octobre 2015
7 janvier 2016

#Mon quotidien Décembre 2015

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Souffler, manger, rêver, attendre, trépigner, pester, partir, rentrer, ne plus lire...

Ou vouloir lire différemment.

7 janvier 2016

Mariages Sous Les Flocons, de Sherryl Woods

Mariages sous les flocons

2 romans en un seul volume, mais une déception malgré tout... 😥 Commençons par : Une surprise à Noël

Uun couple divorcé (avec cinq enfants) envisage de sceller leur réconciliation autour d'un nouveau mariage, le soir du 31 décembre, dans la petite ville de Chesapeake Shores. Megan est cependant inquiète de la réaction de sa nombreuse progéniture, qu'elle a abandonnée en pensant qu'elle agissait pour leur bien.

Elle redoute également que son couple tombe à nouveau dans les pièges qui ont ruiné leur union des années plus tôt. Elle hésite donc longuement avant de céder aux insistances de Mike, son compagnon, et de se lancer dans des préparatifs épuisants avec une famille ô combien exigeante. 

Cela se lit vite et bien, mais sans grand plaisir, car j'ai trouvé l'histoire vite ennuyeuse... Sur ce, j'ai espéré que le deuxième roman (L'amour d'un O'Brien) s'annonce plus croustillant.

Layla a rompu avec Matthew en s'imaginant que cela simplifierait sa carrière et ses relations avec ses parents, or la famille de son ex désapprouve cette rupture et veut tout mettre en œuvre pour raccommoder le couple. Et c'est à l'occasion d'un voyage en Irlande - une tradition chez les O'Brien - que le miracle peut s'accomplir ! 

L'histoire paraît délirante et survoltée, avec quelques situations farfelues, mais pas de quoi casser trois pattes à un canard non plus... C'est le problème avec les histoires de seconde chance, qui ne sont pas ma tasse de thé. Cela manque souvent d'innocence et de fraîcheur, de naïveté aussi, on n'y trouve pas le pep's des premières fois/rencontres.

Je n'ai ainsi pas été convaincue dans l'ensemble, peu sensible aux schémas de romance qui sont ici proposés, trouvant que cela sentait le réchauffé et la sérénade trop niaise, de plus j'ai parfois été outrée par l'attitude des hommes de cette contrée, tellement guindée et cherchant à faire valoir leur supériorité de mâle de façon insidieuse et désobligeante... blurp ! 

Harlequin, coll. Sagas / décembre 2015

6 janvier 2016

La Magie de Noël (New Orleans' Ladies #1) de Liz Talley

La magie de Noël

C'est le miracle de Noël ! En voulant aider un clochard dans la rue, Mary Paige est aussitôt récompensée par un chèque de plusieurs millions et l'opportunité de représenter cet Esprit de Noël pour une campagne de pub d'un grand magasin. Après un instant de doute, la jeune femme accepte de remplir son contrat : s'exhiber partout en ville aux bras de l'héritier qui excècre les fêtes de fin d'année. 

Et pour cause, Brennan est un type cynique, persuadé que son grand-père est frappé de sénilité. Or celui-ci tente de le convaincre qu'après avoir failli mourir d'une attaque cardiaque, et réalisé la vacuité de son existence, il a aujourd'hui besoin de répandre le bien et rappelle que Noël n'est pas seulement une affaire de sous et d'opulence, mais une fête généreuse et apaisante.

C'est sûr, son grand-père a perdu la tête ! 

Aussi, lorsque Brennan rencontre pour la première fois la douce Mary Paige, il ne peut s'empêcher de la désarçonner en lançant des piques bien senties sur l'hypocrisie de la situation. Mais notre héroïne a bien compris son manège et n'entend pas être prise pour une gourde. Certes, l'homme est séduisant et très attirant. Il se montre également attentionné et joue admirablement le jeu lors de leurs prouesses publiques.

Il s'en faudrait de peu qu'elle succombe à son numéro de charme !

Cette jolie romance de Noël remplit à merveille toutes les conditions d'une bonne histoire romantique, avec des personnages attachants, auréolée d'un formidable esprit de féerie. La lecture est sans prétention et met du baume au cœur en plus de vous coller un doux sourire niais sur le visage. Franchement mignon ! 😜

Harlequin, Novembre 2015 pour la présente édition (déjà édité sous le titre Un Milliardaire pour Noël, 2013)

Traduit par Paola Appelius (The Spirit of Christmas)

 

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