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“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)
18 mars 2013

Carrément hot !

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Vous prenez cette citation en VO : "Alright, good night,” he said, his words a little slurred. “But before I pass out, I want you to know that you’re the hottest biscuit this side of the gravy boat."

Et vous obtenez en traduction française : "D'accord, bonne nuit, fit-il d'une voix ensommeillée. Mais avant que tu ne t'endormes, je voudrais te dire que tu es le petit bain brioché le plus sexy que ma saucière de béchamel ait jamais croisé."

Je ne sais pas vous, mais moi j'ai éclaté de rire. C'est beau, la romance... ♥

Carrément hot, par Erin McCarthy (J'ai lu, coll. Passion intense, 2012)

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18 mars 2013

Trois petits tours, et puis s'en vont...

Il faut à tout prix que je laisse une trace de ces deux lectures, car il m'est arrivé une drôle de mésaventure.

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Jane Jones, brillante styliste reconnue à New York, revient dans sa petite ville natale de Vernon, en Louisiane, pour la fête des dix ans du lycée. Il a fallu que sa meilleure amie la supplie de venir y assister. Jane n’a aucune envie de se retrouver nez à nez avec un certain ancien élève, qu’elle a aimé et qui lui a brisé le cœur… Malheureusement, il est là, et le geek à lunettes dont Jane se souvient si bien est devenu un séduisant millionnaire. Il ne manque plus qu’un malentendu pour rendre la situation explosive.

Comble du comble ! J'avais déjà lu ce roman l'année dernière mais je l'avais complètement oublié. Et pour cause, l'histoire est simplette, au schéma classique et très stéréotypé. Du genre qui s'évapore dans les airs sans faire de bruit. Il faut que j'imprime quelque part que j'ai déjà tenté de lire ce truc mais que ça ne m'a pas plu du tout !!! Pff.

Jane (cœur à prendre) Jones, par Joan Reeves (Milady, coll. Central Park, 2012)

Le richissime Daniel multiplie les conquêtes. Son seul principe : ne jamais faire confiance à une femme. Comme la plupart de celles qui traversent son existence, Charlotte est intéressée : le milliardaire a fait l’acquisition de la ferme familiale pleine de souvenirs dont elle refuse de se séparer. Soucieux de trouver une jeune femme pour assister à l’anniversaire de mariage de sa mère, il lui propose un marché : si elle passe le week-end en sa compagnie, il lui cédera la propriété. Charlotte, qui veut à tout prix récupérer cette maison, accepte le pacte, mais impose ses conditions : pas de drague, pas de sexe. Sauront-ils respecter les termes de l’accord ? (Naaaaaaaaaaan, bien sûr ! )

Alors, lui n'est pas franchement folichon. Mais surtout, il n'est même pas drôle. Gros soupirs d'ennui.

Petit weekend entre ennemis, par Barbara Wallace (Milady, coll. Central Park, 2013)

15 mars 2013

Concours de nouvelles érotiques (eh oui !) ^-^

Affiche du Concours de nouvelles Erotiques Edilivre

Edilivre, maison d’édition qui a pour objectif de rendre l’édition plus accessible, organise du 15 janvier au 31 mars un Concours de nouvelles Erotiques.

Ce concours est ouvert à tous, quel que soit l’âge, la nationalité ou le lieu de résidence des participants. Pour être acceptée, la nouvelle devra  respecter la thématique imposée, ne pas dépasser 10 000 caractères et être envoyée par mail à nouvelles@edilivre.com.

Un jury composé d’auteurs et de professionnels sélectionnera les auteurs gagnants et les internautes seront appelés à voter sur Facebook pour élire le Prix du Public parmi les finalistes. Edilivre communiquera les résultats du concours le jeudi 6 juin sur son site Edilivre.com.

Plus de 5 000 € de lots sont à gagner ! Ce concours est organisé en partenariat avec Bookeen, Youboox, Didactibook, Passage du désir, EasyFlirt et Studyrama.

Pour plus d’informations www.edilivre.com.

15 mars 2013

"The same wind that blows us off course can turn and carry us home."

Sans limites

Tout commence par un rapport de force entre Nora Sutherlin, un célèbre auteur de romans érotiques, et son éditeur, Zach Easton, fraîchement débarqué de Londres. Elle souhaite publier un livre différent de ses écrits habituels et a sollicité l'aide d'une prestigieuse maison new-yorkaise. Zach est farouchement opposé à ce projet que lui impose son supérieur et compte mener à la baguette la jeune femme en lui faisant bien sentir que c'est un écrivain du ruisseau, qui n'écrit que des histoires de caniveau. Pas très sympa, donc. Ceci dit, Nora est une jeune femme rebelle, sarcastique et plus encore.

Elle a connu une liaison d'une dizaine d'années avec Soren, avec lequel elle a partagé les tourments de la soumission avant de s'enfuir. Elle s'est alors lancée dans une carrière secrète, celle de devenir la plus grande Dominatrice d'une boîte privée. Autant dire qu'elle n'est pas effarouchée à l'idée d'être bousculée par Zach, au contraire elle y trouve du plaisir et c'est pour elle un véritable stimulant. Elle cherche aussi le déstabiliser, à flirter avec et à le pousser dans ses retranchements, mais Zach est un homme secret et aigri. Il sort d'une rupture amoureuse qui porte encore des traces, le fantôme de son ex est partout présent dans ses pensées, au risque de le rendre fou.

Laissez-moi aussi vous présenter Wesley, un jeune Apollon qui vit sous le toit de Nora et officie en tant qu'assistant personnel. Or, c'est un intouchable. Ses convictions religieuses sont profondes, le garçon est vierge, fou amoureux de Nora, elle-même n'est pas insensible à son charme, et pourtant ces deux-là ne cèdent jamais à leurs pulsions. Là aussi, l'histoire est intéressante à suivre.

Car c'est tout l'intérêt de ce livre, multiple et moins racoleur que ses confrères. Sans Limites vous raconte une histoire d'amours désabusées, d'amitié, de confiance et de découvertes de ses désirs les plus sombres, les plus inavouables. C'est un livre qui m'a finalement grandement surprise, car l'histoire est teintée d'une certaine amertume. Tour à tour, elle est capable de se révéler complexe et fascinante, avec des passages déstabilisants sur la violence que s'inflige l'héroïne. On ressent vivement son désespoir, son impuissance, sa fragilité aussi. Par contre l'écriture est belle, sensuelle et ôte ainsi les soupçons de dégoût qu'une telle histoire pourrait inspirer. A tenter, pour l'impression de lire autre chose qu'une simple fiction érotique.

Sans limites, par Tiffany Reisz
Harlequin, coll. Mosaïc, 2013 - traduit par Alba Neri 

   = sirène = 

13 mars 2013

♠ Libertinage fatal ♠

libertinage

Un lundi matin, en se rendant au boulot, Lily Bard découvre une voiture rouge dans les bois, avec à l'intérieur le cadavre de Deedra Dean. Allons donc, c'est reparti pour un tour. Lily contacte la police, tente d'éventer leurs soupçons, s'interroge sur cette mort brutale. Elle ne connaissait pas particulièrement la victime, mais faisait des ménages chez elle et savait, un peu comme tout le monde, que Deedra avait des mœurs légères. Tout de suite, il est établi que le crime serait d'ordre sexuel.

Quelques jours plus tard, Lily sauve in extremis un vieil homme piégé dans sa maison, alors qu'on venait d'y mettre le feu. La jeune femme étant somnambule, elle a coutume de déambuler dans les rues et de prévenir la police au moindre agissement suspect. Cette fois, elle se trouve davantage impliquée, passée sur le grill. Mais plus personnellement, cela réveille des souvenirs de sa propre agression. De plus, Lily s'inquiète car son business de femme de ménage est en train d'en prendre un coup dans l'aile. Depuis trois livres déjà, elle ne cesse de perdre des clients !

Quid du mystérieux et irrésistible Jack Leeds ? Il est hélas très peu présent dans cet épisode, coincé entre Little Rock et la Californie. Le couple se téléphone, mais le manque est là. Lily commet d'ailleurs un petit impair, avec Bobo Winthrop, c'est bête. Par contre, dès lors que Jack fait son apparition, on ne joue plus dans la même cour et on comprend qu'un grand pas va être franchi d'ici peu. Chic !

J'aime vraiment beaucoup cette série, qui se termine avec le 5ème livre ( Shakespeare's counselor). L'ambiance à Shakespeare n'est pas chaleureuse ni guillerette, c'est tout le contraire, mais quelque part on s'y attache, et comme on connaît de plus en plus les personnages, chaque coup dur ne nous paraît plus si anodin. Ce sont peut-être des bouts de vie sordides, parsemés à travers la lecture, mais heureusement on y trouve aussi un peu d'humour, de bonne humeur et de l'amour vrai, sincère, authentique.

Lily Bard, tome 4 : Libertinage fatal, par Charlaine Harris
J'ai Lu, 2013 - traduit par Tiphaine Scheuer

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12 mars 2013

Le bide du jour☻

“You wanted hearts and flowers,” he murmurs.

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Nous avions abandonné une Anastasia en soudaine reprise de ses moyens, choisissant de fuir sa relation malsaine avec Christian et j'avais grandement applaudi ce choix. Bien entendu, la résistance de la demoiselle aura duré ... 20 pages. Quelle désolation ! Ana a donc commencé son boulot, elle est assistante auprès d'un éditeur indépendant, lequel semble lui porter une attention bien pressante. Hmm, c'est alors que Christian réapparaît avec ses cadeaux, ses virées en hélicoptère et ses tons graves et impétueux, tout ça parce qu'il n'est pas content de la mine de déterrée de sa petite copine, qui a aussi perdu quelques kilos, le comble du comble, car ... à quand date son dernier repas ?!

Eh oui, c'est toujours, toujours la même rengaine. Christian se pose en mâle dominateur, mais c'est ridicule, Ana est naïve et ne cesse de minauder. Dès lors qu'il lui propose de revoir les bases de leur relation (encore un contrat ?), elle frétille d'excitation. Cela ressemblerait presque à une relation avec des fleurs et du chocolat, bizarrement ça n'a pas l'effet escompté. Je n'ai pas du tout été touchée par cette histoire. Autant j'avais pu rigoler avec la première partie, avant de m'offusquer avec les détails du BDSM, autant j'ai trouvé que la plaisanterie avait assez duré.

En clair, cette série ne méritait pas de se multiplier en trois tomes. C'est inutile, les scènes sont répétitives, on retrouve les sempiternelles mimiques de notre couple, qui tente de se comprendre, de percer les mystères, etc. Mais le résultat m'est apparu niais, ridicule et lassant. Vraiment je me suis ennuyée avec cette suite ! Il n'y a rien à redire sur l'interprétation de Séverine Cayron, juste et stoïque quand on songe aux singeries qu'elle doit débiter, c'est le seul bon point à sauver de ce livre à écouter.

Cinquante nuances plus sombres, par E.L. James
Audiolib, 2013

 

“No. No!” he says.
“I . . .” He looks wildly around the room. For inspiration? For divine intervention? I don’t know.

“You can’t go. Ana, I love you!”
“I love you, too, Christian, it’s just—”
“No . . . no!” he says in desperation and puts both hands on his head. “Christian . . .”
“No,” he breathes, his eyes wide with panic, and suddenly he drops to his knees in front of me, head bowed, long-fingered hands spread out on his thighs. He takes a deep breath and doesn’t move. What?
“Christian, what are you doing?”
He continues to stare down, not looking at me.
“Christian! What are you doing?”
My voice is high-pitched. He doesn’t move.
“Christian, look at me!” I command in panic. His head sweeps up without hesitation, and he regards me passively with his cool gray gaze—he’s almost serene . . . expectant.
Holy Fuck . . . Christian. The submissive.”  

12 mars 2013

Shit !

Shit !

cold, nature, pretty, season, snow 

5 mars 2013

Ce blog se nourrit de lectures en R comme

Ce blog se nourrit de lectures en R comme romances ...

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