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“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)
31 janvier 2013

"I did it. I met the woman, the only woman for me. I met her, and now I'm going to meet my wife."

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Parce que sa demi-sœur Victoria s'est blessée à la lèvre et ne peut s'afficher en public au bras de son fiancé, Kate doit usurper son identité afin de faire fléchir l'oncle du jeune homme, pour qu'il consente à leur union. Ainsi, affublée des perruques colorées, des faux seins en cire et des trois minuscules chiens de sa sœur, Kate débarque la mine contrite mais l'esprit en éveil.

Sa première rencontre avec le prince Gabriel est glaciale, la jeune femme le déteste et le trouve arrogant. Gabriel, effectivement, fait tout pour conforter cette position. Il est très étonné de rencontrer cette jeune fiancée qu'on décrivait voluptueuse alors qu'elle n'est pas ... vraiment ... disons ... appétissante. Mais sa curiosité est titillée et le prince est un coquin.

Dans quelques jours, sa fiancée doit arriver au palais pour annoncer leurs fiançailles en grandes pompes. C'est un mariage arrangé, car Gabriel est désargenté et doit trouver des fonds pour entretenir son château, le personnel qui y vit, plus la ménagerie. C'est avec une certaine amertume qu'il se plie à cette règle, aussi compte-t-il prendre du bon temps avec la délicieuse Kate Daltry, dont il vient enfin de démasquer la supercherie.

J'ai particulièrement savouré cette romance, drôle et enlevée, qui se lit comme un conte de fées, avec du sexe en plus. C'est charmant, pétillant et sensuel à souhait. Il y a aussi toute une brochette de personnages secondaires, comme la marraine *Henry*, qui apporte de la légèreté à l'ensemble. Je n'avais pas été particulièrement séduite par le style d'Eloisa James jusqu'à présent, et me voici pleinement réconciliée. Je vais m'empresser de découvrir sa série sur les Il était une fois avec bonheur et ravissement !

Au douzième coup de minuit, par Eloisa James
J'ai Lu, coll. Aventures & Passions, 2012 - traduit par Cécile Desthuilliers

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30 janvier 2013

"Thanks heaven for that. I don't think I would know how to conduct myself in a world in which you offered compliments."

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Lady Olivia Bevelstoke est une insatiable curieuse. Lorsque ses amies lui parlent de son nouveau voisin, Sir Harry Valentine, en des termes croustillants, elle décide alors de se poster discrètement à sa fenêtre, derrière un rideau, pour l'espionner. Hélas, la manœuvre ne passe pas inaperçue et Harry n'est pas dupe du manège de la jeune femme.

Lors d'une soirée mondaine, il n'hésite pas à la taquiner sur le sujet, elle s'offusque et ces deux-là concluent qu'ils ne s'apprécient pas du tout. Autant s'éviter par la suite, merci et au revoir. Mais voilà que le métier de Harry (traducteur russe pour le Ministère de la Défense) le propulse de nouveau dans le petit salon de son adorable voisine, car il doit secrètement surveiller un prince de Russie, lequel courtiserait actuellement lady Olivia.

Finalement, Harry et Olivia vont apprendre à se connaître et devenir de très bons amis. Pendant une grande partie du livre, on ne sent donc pas du tout de tension sexuelle entre eux, puisque l'auteur a privilégié le badinage amoureux. C'est une pratique courante chez Julia Quinn, qui élève la romance à un rang autre que l'étalage de sensualité et de passion débridée (snif !), mais ça reste très drôle et pétillant ! Les séances de lecture, autour d'un petit ouvrage intitulé Mlle Butterworth et le baron fou, sont hilarantes, avec en guest-star le personnage de Sébastian Grey (futur héros de Ten Things I Love About You, le troisième tome de la série des Bevelstoke, entamée avec Les carnets secrets de Miranda).

En somme, une lecture plaisante et amusante, mais un peu dénuée d'intensité amoureuse.

Mademoiselle la curieuse, par Julia Quinn
J'ai Lu, coll. Aventures & Passions, éd. 2012 -  traduit par Cécile Desthuilliers

28 janvier 2013

“Separately they had different strengths. Together they were complete.”

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Sara Fielding est une romancière renommée, qui vit modestement à la campagne, chez ses parents. Elle est fiancée depuis quatre ans avec le plus beau parti de la région. Elle mène une existence sage, mais la jeune femme rêve d'aventures. Elle part donc à Londres pour des recherches pour son prochain roman, se balade la nuit dans les rues malfamées et croise le chemin de deux individus en train d'agresser un troisième homme. N'écoutant que son courage, ou son inconscience, elle intervient et blesse l'un d'eux avec son petit pistolet.

Derek Craven est balafré, mais fichtrement reconnaissant. En récompense, il conduit la jeune femme dans les coulisses de son club. Sara est éblouie, excitée, ravie. Très vite, le personnel l'adopte et l'accueille les bras ouverts. Sa générosité et sa simplicité ont su conquérir tout le monde. Seul Derek demeure hermétiquement farouche à la présence de Sara et désire la renvoyer chez elle. Il refuse d'ailleurs sa venue au bal masqué qu'il organise dans son club, clamant qu'elle n'y a pas sa place, mais celle-ci comprend qu'il la repousse car elle n'est pas assez séduisante et prend le pari de revenir, plus méconnaissable que jamais.

Ce jeu du chat et de la souris va se poursuivre des pages et des pages, pour notre plus grand plaisir. Il faut voir cet homme obtus, qui ne sait pas aimer, en train de fondre pour cette petite chose insignifiante, mais tellement fraîche et spontanée. Il va longtemps lutter contre son attirance, elle va de son côté se creuser les méninges pour abattre sa carrure d'insensible, leur histoire est passionnante, vibrante d'émotions et de sensations, jusqu'à la toute dernière page ils nous offrent un ballet sensuel et virevoltant.

J'ai préféré cette histoire, à celle du 1er tome (Par pure provocation), même s'il est toujours agréable de retrouver la pétillante Lily Lawson, dans un rôle d'entremetteuse.

La loterie de l'amour, par Lisa Kleypas
J'ai Lu, coll. Aventures & Passions, rééd. 2009 - traduit par Perrine Dulac 

(dans mes piles depuis août 2009, huhuhu !)

28 janvier 2013

"Only someone who had experienced such bitter despair would be able to recognize it in another."

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Lily Lawson est une jeune femme audacieuse et pétulante. Partout où elle passe, elle fait tourner les têtes et marque les mémoires. Seul Alex Raiford semble totalement insensible à son charme. Veuf depuis deux ans, il a enfin décidé de convoler en secondes noces avec la jeune sœur de Lily, mais celle-ci est déjà éperdument amoureuse d'un autre. Alors, Lily décide de mettre son grain de sel.

Son exubérance agace fortement le comte de Wolverton, sa présence dérange, elle réveille des sens enfouis, elle pointe du doigt là où ça fait mal et Alex n'a pas envie de s'en laisser conter. Il riposte, il blesse, il vitupère. La relation entre ces deux-là est intempestive et déchaînée. Et pourtant, sous son masque, Lily cache un lourd secret (dont on a très vite connaissance), puisqu'elle veut à tout prix retrouver sa petite fille que son amant italien lui a enlevé.

Moi qui généralement apprécie les romances tumultueuses et les joutes verbales entre les partenaires qui s'aiment et se déchirent, là, j'avoue avoir été un peu déboussolée par la donne. Alex et Lily sont deux personnages faits pour s'entendre, ils se complètent et se ressemblent, c'est flagrant. Néanmoins leur histoire m'est apparue teintée d'amertume, construite à force de trahison, de désespoir et d'abattement. Le moment où Lily perd son pari lors de la soirée chez Craven est une scène très forte et émouvante, même si elle sera suivie par d'autres révélations, elle m'aura davantage serré le cœur que filé des papillons dans le ventre.

La romance est donc très passionnelle, mais elle n'a pas su me transporter. La surenchère dans la provocation a fini par me lasser, mais surtout je n'ai pas du tout été sensible aux histoires de chantage et aux fourberies de Giuseppe. Il y a au moins 80 pages en trop dans ce roman, du larmoiement, des secrets, bref un peu trop d'ingrédients solennels qui ont chatouillé la légèreté de l'ensemble. Je me lance dans la lecture du deuxième tome, avec Derek Craven, un individu peu recommandable mais ô combien fascinant.

Par pure provocation, par Lisa Kleypas
J'ai Lu, coll.Aventures & Passions, rééd. 2009 - traduit par Catherine Plasait

dans mes piles depuis août 2009 (ahem)

26 janvier 2013

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23 janvier 2013

"Ce n'était pas l'endroit. C'étaient les personnes qui s'y trouvaient et les liens qu'elle avait créés."

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Lucky Harbor est devenu mon nouveau foyer ! C'est confirmé.
Il y a des tas de petites choses qui me plaisent dans cette série, l'ambiance, la sensualité, l'humour, les personnages... Cette fois, c'est Ford Walker qui a remporté tous les suffrages. C'est un type très cool, qui prend la vie comme elle vient. Sa passion pour la navigation lui a permis de mener une grande carrière, de parcourir le monde et de brûler la chandelle par les deux bouts. Aujourd'hui il a investi son argent dans un bar et aspire à une vie plus sereine dans la petite ville de Lucky Harbor.

Depuis six mois, Tara et ses sœurs ont débarqué pour renverser bien des cœurs et des têtes. Celle de Ford tient encore sur ses épaules, mais il ne peut ignorer que Tara lui bat froid en raison de leur idylle passée, alors qu'ils n'étaient que des adolescents. Leur belle romance s'étant soldée sur un douloureux échec, Tara avait mis les voiles pour se protéger. Elle a oublié Ford, s'est mariée avec Logan, un champion de course automobile, puis a divorcé avec le cœur en miettes. Réputée pour sa froideur et son intransigeance, Tara cache pourtant un lourd secret. Et comme ses sœurs lui font comprendre qu'elle est ridicule à ignorer un beau gosse de la trempe de Ford, elle se résout à lui accorder son amitié.

Ahem, disons que ces deux-là sont encore bien attirés l'un par l'autre. Ils vont donc trouver un compromis : coucher ensemble, sans les sentiments et sans la moindre promesse. Surtout pas d'attache. Du plaisir sur toute la ligne. C'est tout. Sauf que leur passé leur revient en pleine figure (que c'est gros !), un bon prétexte pour revenir sur tous les non-dits et enterrer les erreurs de jeunesse.

Ce livre nous réserve d'autres surprises, avec l'arrivée en fanfare de Logan, l'ex de Tara. Il est déboussolé sans elle et veut la reconquérir. Tout de suite, les habitants de Lucky Harbor en font des gorges chaudes et publient des photos compromettantes sur la page Facebook, avec un sondage à la clef pour savoir qui de Ford ou Logan remportera le gros lot. Ce côté loufoque me plaît infiniment, voir tout ce petit monde mettre son grain de sel dans les affaires des autres, bien sûr c'est invivable, mais c'est de la fiction donc j'en rigole.

Alors on passera sur les énormités de l'histoire, on admettra que c'est fait exprès, pour le piquant de la romance, il faut surtout reconnaître que l'auteur possède le don de rendre tous ses personnages TRES attachants (et sexy !).
J'hésite à poursuivre, mais j'en ai trèèès envie ... Sawyer, bon sang, SAWYER ! ! !

Lucky Harbor, tome 2 : Tendrement, par Jill Shalvis
Milady romance, coll. Central Park, 2012 - traduit par Auriane Lucas

23 janvier 2013

* Teaser *

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On clique sur l'image pour lire cet extrait ! ^-^

22 janvier 2013

"Comment peut-on vivre sans? C'est comme si tu prétendais pouvoir te passer d'une bière fraîche par une chaude soirée d'été..."

"I've given up men. It's true. At first, I was just going to give up attorneys, but that seemed immature - and far too exclusive, so I'm playing it safe and giving up all the penis-carrying humans."

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Je me surprends moi-même à avoir autant apprécié ce livre ! A la base j'avais tenté une 1ère lecture l'été dernier, mais forte de mon idée que je n'aimais pas les romances contemporaines, j'avais laissé tomber au bout de quelques pages.
Cette fois, profitant de la vague sur laquelle je surfe en ce moment, j'ai donc redonné une chance à cette série qui connaît un joli succès populaire. Et là, j'ai souri comme une bécasse et j'ai marché à fond dans le système. Pourtant, c'est cousu de fil blanc avec des clichés à la pelle, mais je m'en fiche, je suis littéralement tombée amoureuse de Lucky Harbor, cette bourgade où l'on compte plus de crevettes que d'habitants au km2. D'ailleurs, il semblerait que tout célibataire devrait y poser ses valises pour trouver son âme sœur sans tarder, car il y aurait un nid à potentiels, hé, hé.
Donc, suite au décès de leur mère volage, trois sœurs, Tara, Maddie et Chloe, se retrouvent pour reprendre en main l'auberge familiale. Seule Maddie est enthousiaste à ce sujet, les deux autres n'ont qu'une envie : vendre pour plier bagages. A force de ténacité, elle va réussir à lancer un projet qui peut tenir la route.
La jeune femme a besoin de cette seconde chance. Elle est présentée comme une pauvre petite créature vulnérable, qui a perdu l'estime d'elle-même et qui ne demande pas mieux que de se reconstruire. A Lucky Harbor, elle semble avoir trouvé un nid douillet pour lécher ses blessures intimes. Elle qui pensait en avoir fini avec les hommes, dès le premier soir, en se rendant au bar de la ville, elle rencontre Jax Cullen et c'est le coup de foudre.
Oui parce que, dès la page 54, le premier baiser est déjà échangé ! Autant s'asseoir d'office sur l'espérance d'une tension sexuelle débridée. Néanmoins, l'histoire n'est pas trop mal tournée et la romance entre Maddie et Jax est mignonne et très sexy aussi.
A part ça, c'est tout un cadre qu'on découvre avec ravissement et c'est aussi la formidable connivence qui s'installe entre les trois sœurs. Comme elles se connaissent peu et ont trois caractères différents, forcément elles ont beaucoup de mal à accorder leurs violons. Et moi, ça me parle instantanément, tout de suite j'embarque à bord ! J'ai notamment relevé ce Phoebisme : Une sœur, c'est une amie pour la vie.
Enfin bon, c'est frais, distrayant, nunuche et rigolo dans son genre. Pour l'heure, ça me plaît et je vais lire la suite sans tarder.

Lucky Harbor, tome 1 : Irrésistible, par Jill Shalvis
Milady romance, coll. Central Park, 2012 - traduit par Emmanuelle Debon

21 janvier 2013

Ah, les garçons dans les vestiaires...

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A 31 ans, Marisol Winston passe son temps à dépenser l'argent de son père dans des frivolités. Excédé, celui-ci l'envoie en cure de désintoxication dans l'Arizona, où elle suivra un stage de nounou chez Cash Connelly.

Lui aussi s'est fixé un objectif fou en tentant de reconquérir son titre de quarterback vedette, avec trois enfants à charge et une ex-épouse qui a vidé ses comptes. Il est à deux doigts de péter un câble et veut à tout prix garder le contrôle de la situation, mais dès qu'il découvre Marisol suspendue dans l'arbre, devant chez lui, il n'imagine pas ô combien son quotidien va être bouleversé.

Bon, les enfants vont adorer Marisol alors que ce n'était pas gagné. C'est une femme sexy et rieuse, habituée à courir les boutiques et sortir en boîtes, elle ne s'habille qu'en blanc et déteste la campagne. Mais elle va trouver chez les Connelly un véritable esprit de famille qui va métamorphoser l'écervelée qu'elle était en jeune femme dynamique et amoureuse.

Eh oui, elle craque pour le papa sportif et sûr de son charme, entre eux c'est un flirt trèèès poussé qui s'est mis en place, car ils ne veulent pas succomber à la tentation, du moins pas dans l'immédiat, mais ça crépite entre eux.

Et cette frénésie collective met du baume au cœur et est parfaitement communicative ! Marisol est une héroïne pétillante, un peu sotte mais tellement pleine de bonne volonté. On gagne vite sa cause, face à un Cash ahuri d'avoir une bombasse sous son toit, se retenant de lui sauter dessus et combattant ses démons intérieurs.

On est pris dans le tourbillon de cette romance joviale et enchanteresse. L'auteur ne cherche rien d'autre que de partager plaisir et bonne humeur, le lecteur le perçoit aussitôt et savoure chaque chapitre avec le sourire aux lèvres. J'en redemande !

Soyons fous ! par Lisa Plumley
Milady romance, coll. Central Park, 2012 - traduit par Mélanie Rouger

Note au passage : Je n'aime pas les couvertures françaises !!!

19 janvier 2013

"Parfois, être optimiste, ça demandait simplement trop d'efforts."

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Callie a 30 ans, elle est célibataire et folle amoureuse de son patron, Mark, avec qui elle a eu une brève aventure il y a quelques mois. Elle ne désespère pas de le reconquérir, même si celui-ci s'affiche avec une nouvelle conquête. Complètement déboussolée, Callie décide d'opter pour le Plan B : il lui faut un autre homme dans sa vie, pour titiller la jalousie de Mark. Ce sera donc Ian McFarland, le jeune véto qui vient de s'installer en ville, un type trèèès séduisant mais aussi glacial qu'un iceberg. La jeune femme a bien du souci à se faire pour le dérider.

Et c'est ce qui est particulièrement drôle, car Callie est pétulante, enjouée, bavarde et pleine d'allant, tandis que Ian est tout son contraire. Or, dès que celui-ci lâche le moindre sourire ou montre qu'il n'est pas si insensible que cela, c'est la nouba à tous les étages. En attendant, il faut ramer sec. Donc, peu de jeu de séduction flagrant mais une tendre connivence qui s'installe au fil des chapitres... Certes, il est divorcé et marqué à vif, elle est obnubilée par son patron et a du mal à tourner la page. La romance entre ces deux-là ne peut que se gagner au terme d'une longue patience.

A côté, on découvre la petite ville de Georgebury dans le Vermont, avec sa communauté très attachante. Callie vit chez son grand-père, Noah, un monsieur grognon et taciturne, mais qui a un cœur d'or. Sa famille est complètement folle, ses parents ont divorcé depuis 22 ans mais son père espère se réconcilier avec sa mère, même si elle ne lui pardonne pas son infidélité. Sa sœur aînée est devenue aigrie et a pris en horreur les hommes, son frère joue les détachés mais n'a aucun but dans la vie. Au milieu, Callie tente d'adoucir les angles et de faire en sorte que les réunions familiales ne virent pas à la catastrophe (peine perdue).

Enfin bon, tout ça pour dire qu'on découvre un roman surprenant et très agréable, où il est question d'amour et de romance, mais pas seulement, car une relation se construit aussi avec “tout ce qui va avec”. Ceci dit, l'histoire se veut légère, frivole et alerte, j'ai beaucoup souri au cours de ma lecture et j'ai trouvé en Callie une héroïne formidable. Toujours à espérer, à garder confiance en elle et à partager cette joie de vivre. On sort de cette lecture avec la sensation de quitter une petite bulle de bonheur, sans la moindre tristesse non plus. Autant d'enthousiasme procure un bien fou ! Je relirai très prochainement cet auteur.

L'Amour et tout ce qui va avec, par Kristan Higgins
Harlequin, coll. Mosaïc, 2012 - traduit par Jeanne Deschamp

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“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)
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