Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)
23 juin 2015

Happy End ! de Meg Cabot

On ne présente plus Heather Wells, ex-lolita de la pop, reconvertie en employée zélée à la résidence universitaire de New York, où depuis quelques tomes elle s'improvise aussi détective maladroite mais sexy pour résoudre des meurtres en cascade. Fisher Hall a ainsi récolté la sinistre réputation du Dortoir de la Mort ! Pour ne pas manquer, ce 5ème livre de la série s'ouvre sur une découverte macabre - une responsable d'étage retrouvée sans vie dans sa chambre.

Branle-bas de combat à la direction, qui en a soupé de la mauvaise publicité et pensait redorer son image grâce à l'émission de tv réalité (cf. Ready to rock !). De plus, Fisher Hall accueille entre ses murs un VIR (un résident très important) en la personne du prince Rachid de Qalif, un héritier riche et séduisant, dont le passe-temps consiste à organiser des soirées alcoolisées, au sein même de la résidence, et où se pressent étudiants et personnel. Double scandale.

Mais Heather ne se contente pas d'avoir une vie professionnelle trépidante, puisqu'elle a aussi prévu de se marier avec Cooper Cartwright, l'homme de sa vie, et doit composer avec une vie familiale en conflit ouvert (toute sa fortune de lolita spoliée par sa mère et son petit copain) et un retour en fanfare de sa tendre génitrice. Cough, cough. Ambiance survoltée, électrique et savoureuse. La recette ne change pas et ne nous déçoit pas !

C'est délicieux, pétri d'humour, simple et efficace. Une lecture de pure distraction, où l'on a plaisir de retrouver des personnages attachants, confrontés à des situations saugrenues, avec un zeste de suspense pour pimenter le tout. Sans quoi, ce tome concentre essentiellement de la tendresse, du bonheur et de l'émotion, rien que dans le dernier chapitre, on a un sourire bécasse jusqu'aux oreilles ! Sans prétention, mais tellement bon.

Albin Michel, coll. Wiz / juin 2014 ♦ Traduit par Florence Schneider (The Bride Wore Size 12) 

Publicité
Publicité
Commentaires
“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)
Publicité
Archives
Newsletter
Publicité