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“Those who don't believe in magic will never find it.” (Roald Dahl)
5 novembre 2014

Mad about the boy #1

Retrouvailles réjouissantes avec Bridget Jones... et je ris ! Je ris.  

« Dans le bus de nuit, j'avais l'impression que certaines parties des autres entraient dans certaines parties de moi-même dont je ne connaissais même pas l'existence jusqu'alors. J'avais la sensation d'être plus intime avec les membres de la communauté nocturne des passagers d'autobus que je ne l'avais jamais été avec quiconque. Roxster, cependant, semblait soucieux, comme si cet autobus de nuit était de sa faute.
- Ça va ? m'a-t-il demandé silencieusement.
J'ai hoché la tête avec le sourire ; j'aurais pourtant préféré être serrée contre lui plutôt que contre l'étrange bonne femme avec laquelle j'étais en train de rejouer la scène de lavage de voiture lesbien que j'avais entrevue sur le magazine de David. »

 

bridgetjones

 

Bridget vieillit, mais ne change pas ! Sensation de retrouver une bonne copine.

C'est très bon, je me marre toute seule. 

 

« Quand elle m'a demandé si j'avais d'autres symptômes et que j'ai parlé d'“aigreurs d'estomac”, elle m'a palpé le ventre et a soudain lâché : “Seigneur ! Jamais je n'ai touché un ventre aussi flasque. ”
En fait, à cause de mon âge, tout le milieu de mon corps a refusé de redevenir tel qu'il était avant mes grossesses, et mes boyaux se baladent à leur aise. Absolument répugnant. Pas étonnant qu'ils pendouillent sur mon survêtement noir aussi mollement que du porridge.
“Que faire ?
- Il va falloir vous attaquer à ce ventre, a-t-elle dit. Et il faudra perdre cette graisse. Il y a un excellent centre de traitement de l'obésité à l'hôpital St. Catherine.
- Traitement de l'obésitééé !!! ai-je glappi. J'ai peut-être un poil de graisse superflue, mais je ne suis pas obèse ! »

 Bridget Jones, Folle de lui - Helen Fielding

 

p. 336

« Je devais me rendre à l'évidence : la peau autour de mes yeux était un tissu de rides ; mon menton et la ligne de ma mâchoire commençaient à devenir flasques ; mon cou ressemblait à celui d'une dinde et des sillons se creusaient entre ma bouche et mon menton, comme Angela Merkel. J'avais presque l'impression de voir mes cheveux grisonner et se permanenter. C'était arrivé, finalement. J'étais une vieille. »

p. 339 (une séance de Botox plus tard)

« 14 : 50. Ai commencé à baver. Impossible de contrôler ma bouche, alors la salive coule aux commissures - ce qui est un comble quand on sait que le but était de paraître plus jeune - comme si j'étais une vieille qui a eu une attaque dans une maison de retraite. Suis obligée de me tamponner sans arrêt avec un mouchoir. »

 

 

bridgetjones2

 

 

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